Salut
J’ai vu la lumière de mon cœur
Après le bannissement temporel de l’obscure
Tempête qui griffe la poitrine ouverte
La pureté se donne dans le soupir simple
D’une prière au salut de sa propre dignité
Un ciel clair sans nuage d’un océan individuel
Sans limite de beauté
Vide et infini
Qui remplit mon âme d’une joie primitive et secrète
Où je retrouve un sens innommable
Pour ma vie d’enfant perdu
Et un espoir qui casse le monde entier