ISSN 2421-5813

J’ai vu la lumière de mon cœur

Après le bannissement temporel de l’obscure

Tempête qui griffe la poitrine ouverte

La pureté se donne dans le soupir simple

D’une prière au salut de sa propre dignité

Un ciel clair sans nuage d’un océan individuel

Sans limite de beauté

Vide et infini

Qui remplit mon âme d’une joie primitive et secrète

Où je retrouve un sens innommable

Pour ma vie d’enfant perdu

Et un espoir qui casse le monde entier

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